Un de ces petits livres magiques – égaré, celui-ci, au rez-de-chaussée, dans le rayon de l’Impossible.
J’ouvre page du troisième poème :
Cheval de bois Au visage gris Monté au froid Monté en lune Cheval de bois Au visage d'or Repousse son crin Entre tes doigts Cheval de bois Au visage rouge Tourne le soir Au fond des bars
Chansons. Pierre Peuchmaurd. Avec une peinture (technique mixte) de Véronique Gentil.
La Morale Merveilleuse & Pierre Mainard Éditeur. 2013.
Chez l’éditeur (à découvrir)