Ça tombe bien, il y a trois jours c’était le Diable… et j’arrive presque au bout d’un des cartons de la cave.
J’ouvre page 411 :
I Rois, 8
Quand la famine, la peste, la rouille, la nielle, les sauterelles d’une espèce ou d’une autre, seront dans le pays, quand l’ennemi assiégera ton peuple dans son pays, quand il y aura des fléaux ou des maladies quelconques ; si un homme, si tout ton peuple d’Israël fait entendre des prières et des supplications, et que chacun reconnaisse la plaie de son cœur et étende les mains vers cette maison, — exauce-le des cieux, du lieu de ta demeure, et pardonne ; agis, et rend à chacun selon ses voies, toi qui connais le cœur de chacun, car seul tu connais le cœur de tous les enfants des hommes, et ils te craindront tout le temps qu’ils vivront dans le pays que tu as donné à nos pères.

La Sainte Bible, qui comprend l’ancien et le nouveau testament traduits selon les textes hébreux et grecs, par Louis Segond, Docteur en théologie. Nouvelle édition revue.
Société biblique française. 1968.
À La Procure, normal.