regards corpusculaires

Mur ouest, les poètes, grand format. J’ouvre page 17 : Déserts Poudroiement au loin des déserts. D’invisibles élytres verbalisent toute absence. Nuits sans fin. Mirages. Des chalands d’impuissance font vibrer toute colombe dans l’air blanc du matin.Air et colombes se confondent. Des harangues traversent, envoûtent les caravanes passagères. Une oasis au loin, affleurant ses neiges,…