Le repaire des corbeaux

le

Roman policier. Moyen… Jolies couvertures.

J’ouvre page 97 :

— Dieu soit loué, nous sommes sortis de là !
Cranston et Athelstan se trouvaient sur le parvis, devant l’entrée principale de l’abbaye. Ils avaient laissé les chevaliers dans la salle capitulaire. Sans attendre qu’ils réagissent à son avertissement, le coroner avait tourné les talons et s’était éloigné à grands pas, suivi du dominicain et du capitaine. Coverdale arborait un grand sourire en pensant à la façon dont Cranston avait traité ces vaillants seigneurs. Il lui tardait de savourer le malaise des représentants et, une fois passé le cordon de soldats, il brûlait de faire ses adieux à Athelstan.

Le repaire des corbeaux. Paul Harding. Traduit de l’anglais par Christiane Poussier et Nelly Markovic.
Éditions 10/18, Grands détectives, n°3531, 2003 (1995)
C’est le même. L’auteur change de nom

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