Là-haut. Pourquoi tant de polars ? Pour s’endormir paisiblement. J’ouvre page 149 : Miss Silver le regarda en face.— Je me félicite que vous abordiez ce point. Dans le cas d’un meurtre, il est hors de question pour moi de dissimuler une preuve matérielle à la police. Je ne saurais non plus m’intéresser à une…
Catégorie : Roman
L’étranger
Bibliothèque de droite, romans après Proust. J’ouvre page 70 : J’ai répondu : « Non. » Elle s’est tue un moment et elle m’a regardé en silence. Puis elle a parlé. Elle voulait simplement savoir si j’aurais accepté la même proposition venant d’une autre femme, à qui je serais attaché de la même façon. J’ai dit :…
Les communistes. Février – Septembre 1939
Rayon Aragon, bibliothèque du milieu, maintenant, en bas, au-dessus des dictionnaires. J’ouvre page 104 : IX « Comment ? Weissmüller ? » M. de Cautèle mit précipitamment sa petite calotte de soie noire, dont il n’oubliait jamais, au gros de l’été et au comble de l’émotion, de protéger sa calvitie, et il dégringola de la galerie par…
La plume empoisonnée
Une vieille anglaise au grenier. J’ouvre page 53 : — Et c’est bien vrai, s’écria Elsie. Il faut que je m’occupe des petits — ils sont avec la cuisinière pour le moment — et aussi de ce pauvre Mr Symington, qui en a besoin autant que n’importe qui, il faut que je veille en outre…
L’an deux mil.
Bibliothèque de droite, romans après Proust, premier rayon. J’ouvre page 95 : Je veux pas devenir un rat, qu’elle disait parfois. Ça n’arrivera pas. Pour rire un peu, les Gros-Bras lui demandaient de jouer un air. Elle s’asseyait sur un cageot ou sur une vieille bassine renversée, et elle interprétait une valse de Chopin sur…
Le repaire des corbeaux
Roman policier. Moyen… Jolies couvertures. J’ouvre page 97 : — Dieu soit loué, nous sommes sortis de là !Cranston et Athelstan se trouvaient sur le parvis, devant l’entrée principale de l’abbaye. Ils avaient laissé les chevaliers dans la salle capitulaire. Sans attendre qu’ils réagissent à son avertissement, le coroner avait tourné les talons et s’était…
Ingrid Caven
Romans après Proust. Tout le monde sait que c’est dans la bibliothèque de droite. J’ouvre page 104 : « Pas le même du tout, pense-t-elle, que le juvénile garçon détendu en polo rayé, de couleurs estivales, qui m’avait reçue dans sa villa de Deauville deux ans plus tôt. Je le voyais alors pour la première fois….
Le sang des innocents
Jour du polar. Étagère C. J’ouvre page 121 : Trueblood s’énerva :— Taisez-vous et laissez-le continuer. Melrose, recommence.— Chèvre. Chipotée. Chambardée. Chaude-pisse…Melrose s’interrompit, lançant un regard soupçonneux autour de la table.— Chaude-pisse ? Qui a proposé ça ?Jury regardait le plafond d’un air innocent.— Si vous ne prenez pas le concours au sérieux, ça ne…
Le manoir de la douairière
Polars, combles, étagère B, anciens. J’ouvre page 93 : — Lui apportiez-vous du thé dans sa chambre ?— Vous n’avez rien compris à Sister, protesta Nurse Barrow d’un air supérieur. Elle n’avait jamais rien que nous n’avions pas. Du thé au lit ! Jamais ! Des fois, elle m’en a porté, elle, la directrice, une…
Un vrai crime d’artiste
Étagères 10/18, dans la mansarde. C’est tout à fait à sa place, malgré tout. J’ouvre page 233 : 14 – Une brindille témoigne À sept heures du matin, Alleyn et Fox furent de retour à Tatler’s End House, dans la pâle et froide lueur de l’aube. Une spirale de fumée s’élevait au-dessus d’une des cheminées….
La dernière cartouche
Petits livres reliés à l’ancienne, dans un carton de la cave. J’ouvre page 147 : Chemisette et tricot ? Non, le pull-over. La nuit sera peut-être fraîche, et puis il est sombre ; en ce moment les chats ont intérêt à être gris la nuit. Dix heures moins le quart. Tant pis ; Christian ne…
La troisième fille
Agatha, pour la soirée ? Grenier, étagère B. J’ouvre page 33 : Elle s’interrompit soudain comme si elle réalisait brusquement qu’elle s’entretenait avec un étranger. — Mon dieu, je ne sais pas pourquoi je vous raconte tout cela ! Je suppose que chaque famille a des soucis similaires. Pauvres belles-mères, nous sommes bien malmenées… Voici,…
Thaïs
De la cave. Odeur de champignon et de bois humide. J’ouvre page 87 : Elle épiait dans son miroir les premiers déclins de sa beauté et pensait avec épouvante que le temps viendrait enfin des cheveux blancs et des rides. En vain, elle cherchait à se rassurer, en se disant qu’il suffit pour recouvrer la…
Le thé des trois vieilles dames
Ne négligeons pas les « mauvais genres ». 10/18, étagère E. J’ouvre page 123 : La chaîne de collines des Voirons ressemble à un géant au poil noir, se prélassant avec volupté dans le paysage. Des bourrasques s’élançaient de ces collines, comme des messagères chargées d’avertir le lac de l’approche du soir. Jakob se leva lentement, comme…
Ce doux pays
Romans policier, là-haut. Bien noir. J’ouvre page 155 : 15 L’appartement de Jimmy Foro parut à Winter plus grand que lors de sa première visite. Ça lui arrivait souvent. C’était une question de temps. Deux ou trois jours après le crime, les choses prenaient une autre forme, d’autres proportions. Tout revenait à l’étale. L’espace, comme…
Le chat qui parlait aux oiseaux
Polars, là-haut. Étagère F. J’ouvre page 137 : — Fort bien. Yom Yom chasse les insectes et Koko prend des cours de chant avec les oiseaux.Après avoir raccroché, Qwilleran se tourna vers Koko qui écoutait de toutes ses oreilles :— C’était Elizabeth Hart. Elle a demandé de tes nouvelles.Tandis que Qwilleran préparait le dîner des…